L'atelier de Marmotte

Maman comblée de 3 zouzous et accompagnée d'un conjoint génial, je partage ici mes aventures, mes recettes, mes bricolages, mes idées, mes découvertes ... Bref, je vous livre un bout de ZeMoi.

31 mars, 2007

Pas tout à fait ce que j'avais imaginé ...

Avec la grossesse si facile et sereine que j'avais vécue, je voyais mon accouchement naturel et un allaitement réussi.

Ben, c'est tout faux pour le coup.

L'accouchement a été une véritable épreuve olympique (pas les JO modernes, hein, plutôt ceux des temps anciens !!!) et mon lait ne nourrit pas ma fille. Rien de bien naturel, quoi !!!

Heureusement que je suis entourée de gens formidables et surtout de mon cher et tendre amour, qui me font déculpabiliser.

La césarienne, ça n'arrive pas qu'aux autres. Je me voyais accoucher par voie basse et naturellement (comprenez, sans péridurale !!! Je suis assez résistante à la douleur, après tout, j'ai été un vrai garçon manqué dans ma jeunesse :o) ). Et puis finalement, que nenni !! Et alors, le principal, c'est que notre grenouille soit sortie en pleine forme et qu'elle est jolie comme un coeur.

La cicatrice, ils font de très jolies choses de nos jours ! Déjà elle est dessinée à l'horizontale, elle est à la base du pubis et très fine. De toute façon, qui va aller voir là ?? Mon gynéco !! Il s'en moque, il en voit des tas. Mon chéri !! Ca lui rappellera l'arrivée de notre grenouille dans notre vie. J'ai lu sur un blog (www.enattendantbebe.blogspot.com, allez lui rendre visite, ça vaut le détour !) "un grand sourire dans le bas du ventre" ou encore "c'est un tatouage qui dirait : Noah, 6 avril 2006" !

L'allaitement, le principal c'est les premiers jours voire les premières semaines, dans la mesure du possible. Contrairement à il y a quelques années, où le lait maternisé était le seul vrai bon nourrissage du nourrisson et ça préserve les seins de "môman" (un peu trop superficielle), de nos jours, les jeunes mamans ont compris l'importance de l'allaitement. Mais malheureusement, dixit mon docteur de la vieille école : "1 femme sur 5 ne réussit pas son allaitement". Ce n'est pas une question de volonté, c'est une question de capacité. On veut bien, mais on ne peut pas !!! Mais on le nourrit autrement cet enfant qu'on a porté et qu'on aime par-dessus tout alors qu'il est tout neuf, tout juste sorti de nous d'une manière ou d'une autre.

Merci à toutes celles et tous ceux qui m'ont apporté un peu (ou énormément) de réconfort et de confiance en moi. Non, je ne suis pas une mauvais mère parce que j'ai subi une césarienne et encore moins parce que le lait que je produis ne nourrit pas mon bout d'chou. C'est la vie, c'est tout !!!

Et tout le reste, vergetures, rondeurs ce n'est rien tout ça. Votre homme vous aimera toujours. Tant que vous restez vous-mêmes et que vous faites la part des choses. Certes, vous êtes une maman maintenant, mais vous êtes aussi une femme ... Et ce bébé, vous ne l'avez pas faite toute seule, vous étiez un peu 2 dans l'histoire ! Il n'y en a qu'une seule de femme à l'heure actuelle qui a réussi le miracle de faire un enfant toute seule (vraiment toute seule). Et encore, c'est assez controversé, le Saint-Esprit est tout de même un petit filou !!!

Elle a faim, tout simplement !!!

Constat évident de mon médecin de famille !!!

A la maternité, ma pépette passait sa journée accrochée à mon sein, à téter en continu. J'avais les mamelons en sang à force, l'allaitement était un calvaire et pourtant à peine endormie elle se réveillait en hurlant.

Mais pas des pleurs de caprice ou de fatigue, des hurlements qui vous déchirent le coeur. Il est 2 heures du mat', vous êtes encore debout avec ce petit bout d'être dans les bras et qui réclame. Vous venez de passer 6 heures d'affilée à l'allaiter et pourtant ...

J'appelle ma (belle-)maman au secours pour qu'elle m'emmène chez le docteur. Bien évidemment, elle accourt dans ces cas-là ; c'est un ange ma belle-mère. Si toutes les belles-mères étaient comme elle, les humoristes devraient se chercher de nouveaux sujets pour leurs sketches.

Une petite balade en voiture, ça l'endort doucement ma choupinette. On n'attend pas longtemps pour une fois, dans la salle d'attente avant nous, une jeune maman et son tout petit d'1 an environ.

Et voilà, c'est notre tour. J'expose la situation au docteur. Bon et bien on va la peser. On déshabille bébé, évidemment elle se réveille pauv' 'tite chose et commence à pleurer et à chercher surtout.

Et là, le verdict sans appel de mon cher et compétent médecin : "elle a faim, ta fille !!!". Elle est en dessous de son poids de naissance. On file lui chercher du lait maternisé et de l'eau de source. On rentre vite à la maison et on prépare son premier bib'. Et là miracle, elle s'endort pendant 4 heures de suite !

Je garde la tétée tout de même pour l'instant, c'est notre câlin à nous et notre petit moment de tendresse. Et ça fait de tellement jolis clichés souvenirs pour mettre dans les albums.

Je l'avais dit aux sages-femmes à la maternité. Ce n'était pas normal qu'elle pleure comme ça et qu'elle passe son temps au sein. Gourmande et goulue, certes, vu les parents, mais à ce point ... Les 3 premiers jours, tout allait bien, évidemment elle avalait le colostrum, ce qui très nourrissant. Mais après la montée de lait, ce n'était plus pareil.

Agathe Zeblues


Le "Baby Blues", j'ai connu ... Celui qu'on appelle plus sérieusement "syndrôme post-partum".

Pendant le long séjour à la maternité qui a suivi mon accouchement. Et oui, une césarienne rallonge votre séjour auquel il faut ajouter les 3 jours où ils ont vainement tenté de faire sortir ma choupinette de son cocon douillet qu'était ma Bidoune.

En tout et pour tout, je suis restée 8 jours complets à la Maternité. Pas que le personnel n'était pas sympatique (enfin dans la majeure partie), ni que les repas n'étaient pas succulents (de toute façon, je n'avais pas vraiment faim et je n'ai eu le droit de manger correctement que 3 jours après l'accouchement), ni que les activités ne sont pas variées (heureusement que j'avais prévu mon coup !!!) ... mais chez nous on est tellement mieux.

J'avais l'impression d'être inutile, je voulais au moins être chez nous, pour pouvoir m'occuper de mon z'homme et voir mes bestioles et coucher ma puce dans son propre lit et moi dans le nôtre !!!

Difficile de retenir ses larmes devant Chéri même si je ne voulais pas lui montrer. Encore plus difficile de le rassurer :
"Non, non, ne te bile pas, je vais très bien" avec des larmes qui roulent sur les joues et la voix cassée par les sanglots.
Et de là, s'en vouloir encore davantage car il s'inquiète pour vous et ne sait pas comment vous consoler.

Vous êtes heureuse, je l'étais plus que tout : je tenais enfin dans mes bras le fruit de notre amour et je pouvais voir son papa la dévorait des yeux et la couvrir de baisers et de caresses ; je venais de donner la vie ; nous fondions enfin notre petite famille ...

Mais parallèlement à tout ça, vous êtes bloquée là sur le lit pendant 4 jours et 3 nuits, sans pouvoir justement prendre dans vos bras votre grenouille qui pleure, car vous êtes câblée de partout (sonde, intraveineuse, perfusions ...). Vous êtes couchée là sur le lit alors que vous voudriez vous dégourdir les jambes. Vous êtes couchée là sur le lit alors que vous voudriez vous lever pour accueillir vos visiteurs et leur offrir un 'tit café-douceur.

L'infirmière vient chercher votre tout-petit pour lui faire encore des tests (vous savez celui où elle pique son talon pour lui extirper quelques gouttes de sang à mettre sur un carton pour les analyses de maladies rares !!! Je ne suis pas contre, bien au contraire.). Et vous, vous êtes là dans ce lit, pas capable de bouger, le papa qui vous expose sa journée. Tout d'un coup, vous entendez des cris et des pleurs ... Et vous dites impuissante et désemparée : "Ca, c'est la mienne !!!" et ça vous arrache le coeur et les tripes ...

Vous pensez toute la journée, il n'y a pas grand'chose d'autre à faire ! Vous n'avez pas eu l'accouchement dont vous rêviez, vous vous sentez inefficace voire incompétente (certainement, car c'est votre premier), vous sentez qu'un truc cloche et pas moyen de mettre le doigt dessus ...

J'ai eu une bonne grosse déprime, jusqu'au jour du départ.
Ben oui, désolée, j'ai été vraiment heureuse en sortant.

16 mars, 2007

La Délivrance - Jour 3/3

Jour 3 : Vendredi 2 Mars 2007

Selon le personnel, c'est aujourd'hui le grand jour !!! Ca va se produire ...
Je vais enfin voir notre Grenouille, on va enfin pouvoir la tenir contre nous.

Mon chéri m'a appelée ce matin. Ca me fait du bien d'entendre sa voix, mais je suis tout de même stressée.

On m'emmène pour des examens gynécologiques. On m'explique rapidement que l'on va me poser la péridurale, finalement. Décidément, je n'aurai rien fait comme je le souhaitais pour mon premier accouchement. J'espèrais tant avoir un acouchement par voix basse et naturel, c'est raté ! Mais, après tout le principal c'est le résultat.

Petite anecdote :
Un petit réconfort, au moins, pour cette journée qui s'annonce stressante et éprouvante pour moi. Le personnel a donné des noms aux 4 salles d'accouchement du Service Obstétrical. Ainsi, il y a Koala, Kangourou, Cigogne et Marmotte. Et devinez, ils m'ont installée dans la salle "Marmotte". C'est un signe, non !!! Un petit rayon de soleil pour moi en tout cas.

Les anesthésistes sont là et les sages-femmes. Je porte une "magnifique" nuisette d'hôpital. Puis on vient pour me poser la péridurale. Je suis paniquée, seule et en larmes. Je n'arrive pas à me calmer, sûrement la fatigue et le stress des ces derniers jours. Je ne suis pas très détendue pour qu'il pose la péridurale et je sursaute quand il pique. Alors, je commence à respirer profondément et je reprends un peu mon calme. Parallèlement, on me pose des électrodes et le monitoring et les perfusions diverses et variées. On me montre le système qui va injecter le produit aux hormones sensé déclencher les contractions, que je ne ressentirai pas à cause de la péridurale.

Je passe la matinée seule mais heureusement j'ai pu conserver mon téléphone et parler à mon z'homme, à ma soeurette et à Maman. Les heures passent sans que rien n'évolue. Je suis vraiment lasse. Je n'ai droit ni de boire, ni de manger et j'ai la langue en carton. La matinée se passe : je remplis les pages du cahier de bienvenue de ma Grenouille et somnole un peu, dans la mesure du possible, car il y a des allers et venues autour de moi.

Mon chéri me rejoint enfin à la mi-journée. C'est à ce moment, d'ailleurs, qu'une décision aurait dû être prise pour savoir si je partais en césarienne ou non. Finalement, c'est non et comme c'est la relève des docteurs, le nouvel arrivé veut voir un peu l'évolution et prendre sa décision d'ici quelques heures dans l'après-midi.

Moi, je faiblis, je n'arrive quasiment plus à garder les yeux ouverts ou à articuler comme il faut. Il est 15h et rien de neuf. On informe vite le personnel que j'aimerais autant subir une césarienne, car s'il me fallait pousser là, j'en serais parfaitement incapable, car je suis trop naze. Mais non, on attend encore ...

Finalement, il est 19h00 et c'est à nouveau la relève. Et enfin, quelqu'un qui porte ses culottes. Le gynécologue ordonne à 19h05 qu'on me prépare pour le bloc. A tant l'avoir dérangée, la Grenouille s'est déplacée et elle n'aurait jamais pu sortir par les voies naturelles (grosse déception, je pleure à nouveau, mais certainement juste de fatigue !!!)

19h54 : Heure officielle de la naissance de Sélène, notre fille !!!

La sage-femme me la présente rapidement avant de l'emmener vers son papa, pendant qu'on me pose les agrafes. Puis je les rejoins rapidement en salle de réveil.

Mon chéri porte fièrement sa fille, même s'il est aussi fatigué et stressé. Lui qui me disait qu'il ne tiendrait pas le bébé tant qu'il serait trop petit, de peur de le casser, il a été mis de suite à contribution.

Je subis encore quelques spasmes pendant de longues minutes, puis on installe notre merveille sur moi pour la première tétée. Notre premier contact si doux !!! Et là, tout en tenant la main de mon merveilleux amour, je me laisse enfin gagner par le bonheur d'être maman.

Nous formons une bien jolie famille pleine de tendresse et d'amour.

La Délivrance - Jour 2/3

Jour 2 : Jeudi 1er Mars 2007

Après une très mauvaise nuit dans un lit d'hôpital, perfusée et sondée avec la visite des infirmières toutes les heures pour vérifier le monitoring qui a tourné toute la nuit, le matin arrive enfin.
Pas de petit-déj', pas plus que je n'ai eu de souper la veille au soir ... Je me sens vraiment lasse et "molle".
Je ne retourne pas en salle de pré-travail aujourd'hui, je peux rester dans la chambre, ce qui signifie par contre être allongée toute la journée.

Nouvelle méthode : un lacet d'hormones, ce qui implique de rester allongée. Méthode qui ne fonctionne toujours pas, car à la mi-journée, je n'ai toujours aucune contraction, même infime. Je dirai même qu'il est encore moins efficace que le gel d'hier. Enfin, il ne reste qu'à attendre, encore.

Je somnole quasiment toute la journée, de toute façon, il n'y a pas grand'chose à faire d'autre. Ils ne me laisseront pas repartir chez nous. La barbe !!!

16h00 : re-perte des eaux, en moindre quantité ! Mais tout de même ... Malheureusement, toujours rien ne se passe. Le col est toujours fermé et tonique.

On passe une nouvelle nuit à l'hôpital, demain nouvelle méthode ...

14 mars, 2007

La Délivrance - Jour 1/3

La Délivrance, c'est le terme qu'utilise les sages-femmes et les gynécos pour parler de l'accouchement, enfin plus exactement de la sortie du Bébé du ventre de la mère.

Jour 1 : Mercredi 28 février 2007
Je suis les indications données Lundi et me voilà de retour à la Maternité à 8h45. Aujourd'hui, mon chéri m'accompagne.

Très vite, il est décidé de m'installer en Salle de Pré-travail ! On m'installe sur une table de travail avec des appareils par tout, puis sous monitoring. Après une heure à écouter les battements de coeur de notre Ange, on m'injecte un gel pour déclencher les contractions, car je n'en ai toujours aucune. Et là, c'est le début de la longue, longue, longue attente ...

Rien ne se passe, pourtant ! Les heures passent et aucune contraction ne se présente. Je fatigue nerveusement, physiquement et mon pauv' chéri ne sait pas quoi faire pour me soulager un peu et nous rassurer beaucoup.

Petite parenthèse à l'Homme de ma vie :
Merci, mon coeur, d'avoir été à mes côtés ; d'avoir eu les paroles qui font du bien au coeur et à la tête ; de m'avoir apporté ces petites attentions qui réchauffent ; de m'aimer tout simplement et de me le montrer.

Après avoir passé la journée perchée sur une inconfortable table de travail, il est 18h30 et on m'envoie dans une chambre pour passer la nuit là, à la Maternité !!! Et non, pas le droit de rentrer chez nous pour vraiment me reposer et être au calme avec mon z'homme.

Ma belle-mère et ma belle-soeur passent nous voir dans la chambre avant la fin des visites.

19h00 : je me lève pour souhaiter une bonne soirée à mes visiteurs qui s'en vont ... oups !!! Y'a un truc tout bizarre qui m'arrive. Je viens de perdre les eaux. On appelle les infirmières donc et on fait sortir tout le monde illico et on me couche ... encore !!!

Je passe une mauvaise nuit avec un lacet d'hormones et sous monitoring pour déclencher cet accouchement et nous surveiller, la Grenouille et moi !!!

Ce n'est vraiment pas comme ça que j'imaginais mon accouchement (qui n'est toujours pas arrivé) et les contractions pour pousser mon bébé vers la Vie (je n'en ressens toujours aucune !).

J'essaie de dormir un peu et on verra bien demain.

Demain est un autre jour !!!

Terme dépassé

Mon terme de grossesse a été calculé au 25 février par le gynécologue.

Lundi 26 février 2007

8h00 : Coup de téléphone du gynécologue de la Maternité :
- Allô, dit la Marmotte d'une voix encore un peu endormie
- Bonjour, ici le Dr. Richard, vous deviez accoucher hier !!! Je ne vous ai pas vue.
- C'est exact, toujours rien de nouveau de mon côté, Docteur. Je passe aujourd'hui pour vérifier que tout va bien, explique la Marmotte qui s'étonne d'un tel empressement.
- Ah d'accord, très bien, mais vous passez sans faute, hein !, insiste le Dr. Richard.
- Oui, oui, bien sûr !!!, confirme la Marmotte
- Parfait, à tout à l'heure à la Maternité alors.
- A tantôt, Docteur !

Je me retourne dans le lit pour m'installer le plus confortable possible. Ma Grenouille d'amour me sent réveillée, elle commence à gigoter dans la bidoune.
Mon chéri vient s'informer de ce mystérieux coup de fil de si bonne heure. Il s'étonne, lui aussi, de l'empressement du Docteur.

Comme si, aujourd'hui, la Maternité devait être programmée, calculée à la minute près, officialisée presque. Avant, les femmes accouchaient quand la Nature et Bébé l'avaient décidé. On comptait moins de problèmes et de suivis qu'à l'heure actuelle. Les femmes sont faites pour porter les bébés, les femmes sont faites pour accoucher. Laissons un peu faire les choses !!!

Après quoi, je me lève et me prépare tranquillement. Je rassemble les sacs.

13h30 : Arrivée à la Maternité :
Maman m'a accompagnée pour passer les examens. Finalement la pauvre a dû attendre dans le hall d'attente au lieu d'être avec moi :o(
On m'emmène en Salle d'examen. On m'installe un monitoring pour écouter les battements de coeur de la Grenouille et vérifier les contractions. On prend ma tension, ma température ... En tout cas, ma Grenouille remue comme si elle dansait une "jig" (pas sûre de l'orthographe !!!). Mais pas une contraction à l'horizon. Ca dure une bonne grosse 1/2 heure.

Puis on passe en Salle d'examen gynécologique. Rien d'extraordinaire, rien n'a bougé. Le col est toujours parfaitement fermé et tonique. Rien à signaler !!!

Conclusion => Veuillez revenir Mercredi matin pour de plus amples examens, s'il n'y a rien de nouveau !!!